Il est plus que temps de vous donner des nouvelles !

Sébastien Lecornu, le moine soldat (On trouve décidément des amateurs de jeux de rôles dans les endroits les plus inattendus !) est de nouveau premier ministre après avoir démissionné 2 jours avant… Il faut lui expliquer qu’il a aussi la possibilité de poser des jours de congés. C’est dans le droit du travail français Sébastien, inutile de créer un pataquès institutionnel dès que tu veux avoir 2 jours pour souffler.

Donald Trump est pressenti pour être le prochain Prix Nobel de la paix… selon lui même ! Mais après tout, pourquoi pas, Barack Obama lui, l’a bien reçu par le simple fait d’exister.

Quant à moi, je suis de retour sur scène. Le 13 septembre dernier, devant un Point Virgule plein comme un œuf, j’ai joué 39/45 mon nouveau one man show, seul en scène, stand up… Vous appelez ça comme vous voulez, ça reste un homme ou une femme dont la vie sociale ne lui permet pas de jouer à deux. Et ça a été merveilleux moment ! J’ai hâte de le reprendre dans la capitale tous les lundis au théâtre Le Funambule à partir du 3 novembre.

Mais avant cela, j’aurais l’honneur de revenir jouer à Grenoble, à La Basse Cour du 30 octobre au 1er novembre. Donc si vous êtes dans les parages, n’hésitez pas à venir ou à diffuser l’information, car l’avantage de ce type de café-théâtre sur bien des lieux parisiens, c’est que l’on peut boire un verre et discuter ensuite. Tu n’as pas un directeur de salles, anxieux, collé à ton céans, qui tient encore à programmer 19 spectacles derrière toi.

Je comprends la logique impérieuse de gagner sa vie, mais très honnêtement, une des raisons qui font de ce métier un des plus beaux métiers du monde, c’est la possibilité de rencontrer des gens différents partout en France.

Le dimanche 9 novembre, je serai également sur scène à Mondeville à 17h. C’est quasiment un lieu de pèlerinage pour moi car je crois bien avoir joué chacun de mes spectacles dans cette salle depuis 10 ans.

En marge de mon spectacle, j’ai également rejoint l’équipe du Théâtre des Deux Ânes, sous l’égide de Régis Maihot, pour une nouvelle revue de presse politique. Je ne m’étais plus essayé à cet exercice depuis la fermeture du Caveau de la République, autre salle mythique parisienne où j’officiais aux côtés d’Alex Vizorek et Frédéric Fromet, et je dois avouer que ça m’avait manqué. En même temps, il y a de quoi faire, me direz-vous.

Je ne vous ai pas encore parlé du lancement de SPIN-OFF sur la plateforme du Studio 17 mais je compte tout vous dire dans la Newsletter de la semaine prochaine.

D’ici là, prenez soin de vous et profitez de ce gouvernement, on ne sait jamais combien de temps il peut durer.

Frédérick Sigrist

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